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Expériences

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Les familles monoparentales ont besoin de vacances

En Suisse, de plus en plus de familles sont touchées par la précarité. Un enfant sur six vit dans la pauvreté. Non pas temporairement, mais durablement. Ces situations ont un impact sur tout le quotidien des familles concernées. La pauvreté engendre du stress, et adultes comme enfants sont sous pression. Tous ont urgemment besoin d’une petite parenthèse dans la vie de tous les jours. Mais l’argent manque pour cela.

Darunter leidet auch Sarah Weber*. Die 31-Jährige hat zwei Kinder. Vor vier Jahren haben sie und ihr Mann sich getrennt. Seither ist Sarah alleinerziehend, die Belastung ist gross. «Ich fühle, wie meine Energie immer weniger wird. Aber ich funktioniere einfach weiter», erzählt die zweifache Mutter. Sie versucht, allen gerecht zu werden. Dabei kommen ihre eigenen Bedürfnisse jeden Tag zu kurz.

Une parenthèse dans la vie de tous les jours est nécessaire

Marie aurait de toute urgence besoin de vacances. Mais depuis sa séparation, son budget est serré et ne suffit pas pour partir en voyage. Pendant les vacances scolaires, elle et ses enfants, Zoé et Lucas, entreprennent de petites excursions qui ne coûtent pas trop cher. Une petite distraction bienvenue, mais qui n’apporte pas le repos nécessaire.

Les enfants aimeraient eux aussi profiter un peu plus de leur maman, sans qu’elle ait à gérer le tas de linge sale et toutes ces petites choses qui l’épuisent au quotidien. Zoé et Lucas le sentent bien. Le plus grand souhait de Zoé serait de pouvoir un jour repartir en vacances en famille. Unique en Suisse, l’offre de la Fondation Reka pour l’aide aux vacances répond à ces besoins. Pour seulement 200 francs, les familles et les familles monoparentales en situation de précarité peuvent profiter d’une semaine de vacances.

Pour la première fois, Marie s’est inscrite à l’une de ces semaines, un geste qui lui a demandé beaucoup de résilience. A présent, elle se réjouit de partir en vacances avec ses enfants et de faire connaissance d’autres mères. Pour 200 francs, ils passeront tous les trois une semaine dans un village de vacances Reka. « Sans l’aide aux vacances, cela n’aurait jamais été possible », souligne Marie.

Une semaine qui redonne confiance en soi

Outre le stress, la pauvreté engendre également un sentiment d’infériorité. C’est pourquoi il est important que les enfants issus de familles en situation de précarité puissent développer leur confiance en eux. Les expériences vécues en famille, les échanges avec les autres et le changement de décor font beaucoup de bien aux enfants.

Chaque année, la Fondation Reka pour l’aide aux vacances réalise les rêves de vacances d’un millier de familles défavorisées. Ce précieux engagement est uniquement possible grâce aux dons. Pour Marie, cette semaine de vacances est un immense cadeau. Et Zoé a retrouvé le sourire : « On va enfin passer de vraies vacances ! »

Expériences grâce à
la Fondation Reka pour l’aide aux vacances

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Partir en vacances – comme tout le monde

Les vacances Reka sont un moment fort pour toute la famille. Pour Monique Roth* et ses trois enfants, deux garçons et une fille en âge scolaire, c’est même la seule possibilité de partir en vacances. «Ce serait beaucoup trop cher pour nous», confie cette maman élevant seule ses enfants. «Bien sûr, je ne dis pas à mes enfants que nous sommes pauvres. Je fais tout pour que nous ressemblions à une famille tout à fait normale.»

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Gratitude pour le temps passé en famille

La décision positive de l’Aide aux vacances Reka a déclenché une immense vague de joie. C’est aux environs de Noël qu’arrive la réponse: Gabriela Wenger et sa famille pourront partir en vacances grâce à Reka. « Pour nous, le fait que notre candidature soit acceptée est un magnifique cadeau. Dans notre situation, nous n’aurions pas pu nous offrir des vacances.» Les Wenger, ce sont les parents et leurs onze enfants. Le plus jeune a 6 ans et l’aîné 26.

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